Le traitement des frais a un impact significatif sur le calcul des coûts de fin d’année dans la comptabilité analytique. Les frais considérés déterminent effectivement le résultat de la gestion d’une entreprise sur une période de temps spécifique. Lors de la facturation, les charges qui ne peuvent être incorporées à l’entreprise et les charges qui ne sont pas soumises à enregistrement, la différence réside dans leur nature et leur destination.

Comptabilité : quels sont les frais incorporables ?

Pour assurer la gestion financière de l’organisation, il est nécessaire de passer de la tenue des comptes générales à la comptabilité analytique. Pour l’essentiel, cette transition repose sur le traitement des charges et des produits à la clôture de l’exercice. Les charges incorporables sont des frais de tenue des comptes généraux qui peuvent être transférés à la comptabilité analytique. Il s’agit de charges dont l’inclusion comme coûts est justifiée du point de vue du gestionnaire. Ils correspondent généralement à des sorties d’argent directement liées à la production d’une entreprise donnée. Par exemple, pour une entreprise de meubles, tous les frais nécessaires à la production et à l’emballage des meubles sont inclus dans ce type de frais. Ceci s’applique également aux frais administratifs qui ont permis de produire les meubles en question. Cette catégorie comprend les frais d’exploitation, les frais financiers et les frais par nature. Leur inclusion étant jugée nécessaire par l’entreprise, les coûts associés à ces frais sont automatiquement enregistrés dans ses états financiers. La somme doit inclure l’amortissement économique et les éléments supplémentaires pour le mois. Ces données seront ensuite utilisées pour déterminer le coût de la comptabilité analytique qui sera utilisé pour calculer le résultat comptable. Plus d’informations sur : www.outils-de-gestion.fr.

Frais non incorporels : qu’est-ce que c’est ?

Dans le domaine de la comptabilité, les charges non incorporables sont des charges qui ne sont pas directement liées aux activités et services offerts par le cabinet. En particulier, ils ne sont pas comptabilisés comme des charges ordinaires et ne sont donc pas pris en compte dans le calcul des charges de la société au cours de l’exercice. Contrairement aux redevances immatérielles, elles ne sont pas transférables du compte général à la comptabilité analytique. Ils se caractérisent par des dépenses exceptionnelles et non opérationnelles qui ne contribuent pas directement au cœur de métier de l’entreprise. Par conséquent, ils sont exclus du calcul des coûts pour obtenir une valeur de coût significative et plus précise. En effet, ces charges étant atypiques, leur prise en compte dans la détermination des charges fausserait le résultat de l’exercice. Les charges exceptionnelles, certaines charges financières, les amortissements et la participation des salariés sont des exemples de charges impayées.

Imputation des charges : quelles sont les méthodes adéquates ?

La comptabilisation des dépenses est une approche qui doit essentiellement suivre des étapes très précises et doit s’appuyer sur les données opérationnelles de l’entreprise. Il faut alors se référer au Plan comptable général pour bien classer les honoraires et les revenus. Cela vous permet de répartir vos coûts puis d’établir vos coûts fixes et variables pour votre entreprise. Dans le cas contraire, il existe un risque important d’écart dans le calcul des coûts, ce qui affecte l’analyse des résultats de l’exercice lui-même. Par conséquent, la méthode recommandée consiste à classer puis à combiner des radiations similaires pour obtenir la somme des radiations en cours, la somme des radiations non reconnaissables et la somme des radiations du compte générale. Veuillez noter que pour établir les contributions incluses dans les coûts, il sera nécessaire de soustraire les écritures non coûteuses de toutes les écritures qui ne peuvent pas être effectuées, les écritures supplémentaires et la valeur des écritures corrigées. Ces charges incluses dans les coûts reflètent les charges directes telles que les matières premières et l’équipement ainsi que les charges indirectes telles que l’assurance, l’amortissement, etc. pour le traitement des charges analytiques.

Le concept et le sens de la différence dans l’imputation

En l’absence de nouveaux outils technologiques prévus pour le traitement des données comptables, les informations fournies par la tenue des comptes sont utilisées dans le traitement de la comptabilité analytique. La différence de constitution joue un rôle important dans les états financiers de l’entreprise. Ceci s’applique aux différences observées entre les frais de classe 6 en tenue des comptes générales et les frais qui sont inclus dans le calcul des coûts en comptabilité analytique. Mais la différence d’inclusion peut également refléter d’éventuelles différences entre les produits compris dans la classe 7 et les produits analytiques choisis. Pour rappel, la somme des résultats du processus analytique auquel s’ajoute ou soustrait la différence d’inclusion donne le résultat de la comptabilité générale et le résultat analytique. Ainsi, ces écarts révélés dans l’écart d’incorporation permettent de s’assurer que l’incorporation des coûts ne comporte pas d’erreurs et que les données utilisées par la société dans la préparation des états financiers de l’exercice en cours sont correctes.